Salle Cortot
Helene Dautry, musique de chambre
Dimanche 24 novembre 2024 à 15h
Elena Rozanova, piano
Annick Roussin, violon
Diemut Poppen alto
Hélène Dautry, violoncelle.
Johannes Brahms
Trio en la mineur op.114
Gabriel Fauré
Quatuor n°1 en do mineur op. 15
Elena Rozanova piano : « Les grands pianistes ont le don de faire oublier leur instrument et de concentrer notre attention sur l’émotion seule. » Classica
Annick Roussin violon : « Un jeu engagé, une sonorité élancée, une arti- culation et une intonation soignées donnent à son jeu ardeur et lisibilité. Son chant soutenu et inspiré, sa dynamique sont un plaisir de tous les ins- tants…» J.M. Molkhou, Diapason
Diemut Poppen alto : Artiste au jeu chaleureux et brillant, Diemut Poppen est considérée comme l’une des altistes les plus reconnues dans le monde, et fait partie des concertistes que l’on voudrait entendre plus souvent …
Hélène Dautry violoncelle : Sa généreuse sonorité, et son parcours unique en tant que violoncelliste concertiste et pédagogue engagée, font d’Hélène Dautry l’une des personnalités les plus marquantes de sa génération. Elle se passionne pour le partage et la transmission.
Salle Cortot
78, rue Cardinet
75017 Paris
Métro : Malesherbes (Ligne 3)
Parkings : 40, rue Jouffroy d’Abbans
- 14, avenue de Villiers
Prix des places
Tarif normal : 29 €
Tarif réduit (- 25 ans) : 16 €
Frais de réservation : 2 € par place
Réservation close par internet
achat des billets dimanche 24 nov à partir de 14h30 à la salle Cortot (chèque ou espèces)
Salle Cortot
Elizabeth Sombart
Dimanche 24 novembre 2024 à 17h30
Elizabeth Sombart
et le Quatuor Résonnance
Mozart : Concerto n°12 K414 en La Majeur
Mozart : Concerto n°23 K488 en La Majeur
Après avoir accompagné de nombreuses fois Elizabeth Sombart dans l’intégrale des concertos de Beethoven, le Quatuor à cordes Resonnance continue son parcours musical en compagnonnage avec Elizabeth Sombart dans l’intégrale des concertos de Mozart. Il est constitué de Nathanaëlle Marie et Saskia Lethiec au violon, de Laurent Camatte à l’alto et de Christophe Beau au violoncelle.
Salle Cortot
78, rue Cardinet
75017 Paris
Métro : Malesherbes (Ligne 3)
Parkings : 40, rue Jouffroy d’Abbans
- 14, avenue de Villiers
Prix des places
Tarif normal : 29 €
Tarif réduit (- 25 ans) : 16 €
Frais de réservation : 2 € par place
Réservation close par internet
achat des billets dimanche 24 nov à partir de 17h à la salle Cortot (chèque ou espèces)
Salle Cortot
Carine Gutlerner, récital de piano
Dimanche 19 janvier 2025 à 15h
Beethoven : Sonate n°23, op. 57 « Appassionata »
Mendelssohn : Variations sérieuses en ré mineur, op. 54
Debussy : Prélude : Des pas sur la neige – Le vent dans la plaine – La Cathédrale engloutie
Franck : Prélude, Choral et Fugue
« Son jeu assuré est orienté vers le culte du pianiste soliste en parfaite maîtrise de son instrument (…) une artiste de Sturm und Drang, également capable d’exprimer d’authentiques moments de calme et de tendresse. »
Barry L. Cohen – New Music Connoisseur
« Après un superbe disque consacré à Franck et Moussorgski, Carine Gutlerner poursuit un étonnant parcours […] mais avec une dimension qui serait comme la quête d’un univers à la fois musical et spirituel. »
Stéphane Friédérich – Pianiste
Salle Cortot
78, rue Cardinet
75017 Paris
Métro : Malesherbes (Ligne 3)
Parkings : 40, rue Jouffroy d’Abbans
- 14, avenue de Villiers
Prix des places
Tarif normal : 29 €
Tarif réduit (- 25 ans) : 16 €
Frais de réservation : 2 € par place
Salle Cortot
Vincent Bouchot & Denis Chouillet
Dimanche 19 janvier 2025 à 17h30
Vincent Bouchot, baryton
Denis Chouillet, piano
Ce programme, dont le titre est emprunté à Boris Vian (On n’est pas là pour se faire engueuler), se propose de dérouler en chansons françaises, plus rarement en mélodies classiques voire contemporaines, le fil que la parque se charge de couper. Le fil de notre vie, à la lumière de sa finitude, de notre ultime voyage, et pourquoi pas, au-delà de la fatale coupure, du soleil blanc de l’éternité.
Comme on s’en doute, il ne s’agit pas seulement de se lamenter ad vitam æternam sur le côté inévitablement tragique de la chose, mais d’explorer aussi, avec Jean Ferrat (Alleluia), les plaisirs d’un enterrement au village, dont l’essentiel se déroule au comptoir du café, les déboires d’une succession surréaliste avec Charles Trenet (L’Héritage infernal), voire, et cela nous touche particulièrement aujourd’hui, les effets bénéfiques d’une bonne épidémie, avec Aristide Bruant (V’là l’choléra qu’arrive).
Nous croiserons aussi le tragique amer et sublime de Baudelaire et de Verlaine, l’ironie cinglante de Patrick Kermann, et, plus inattendu, un magnifique plaidoyer de Jean-Loup Dabadie : L’Assassin assassiné de Julien Clerc, cette chanson que son compositeur n’a jamais voulu enregistrer en studio et dont Robert Badinter a dit qu’elle avait fait davantage contre la peine de mort que tous ses propres discours.
Et le programme s’achève, petit clin d’œil, par Trois-cents-millions, du répertoire des Frères Jacques, qui raconte la lutte des spermatozoïdes pour assurer l’avenir de l’espèce ! Un hymne à la vie en forme de massacre…
Vincent Bouchot est né en 1966 à Toulouse. Études littéraires universitaires consacrées à Georges Perec et Jules Verne. Chanteur autodidacte, formé « sur le tas » au chœur de La Chapelle Royale (Philippe Herreweghe) à partir de 1987, il fréquente d’abord les principaux ensembles vocaux professionnels de l’époque (Les Jeunes Solistes, le Groupe Vocal de France, Akadêmia) puis rejoint l’Ensemble Clément Janequin en 1993. Il ne l’a plus quitté depuis. Aujourd’hui il collabore aussi avec des ensembles tels de que La Rêveuse, Les Traversées baroques, Doulce Mémoire, Métaboles. Vincent se passionne depuis toujours pour la musique contemporaine, créant en solo d’innombrables partitions, dont beaucoup ont été spécifiquement écrites à son intention, depuis Leçons d’Enfer d’Henri Pousseur en 1991 avec l’ensemble Musiques Nouvelles, jusqu’au Front de l’aube d’Édith Canat de Chizy, avec l’Orchestre National du Capitole de Toulouse, en passant par des œuvres de Gérard Pesson (Forever Valley, Solitaire Mikado), Christophe Looten (Médée de Thessalonique), Alexandros Markeas (Outsider, La Vallée de l’étonnement), Aurélien Dumont (Chantier Woyzeck), Oscar Strasnoy (Hanokh), Philippe Leroux (Le Chant de la pierre et tout récemment L’Annonce faite à Marie, à l’Opéra de Nantes) ou Bruno Ducol (Le Navire aux voiles mauves). Compositeur tout aussi autodidacte, il a notamment écrit de très nombreuses mélodies et pièces instrumentales, souvent à la demande de collègues et ami(e)s tel(le)s que Sandrine Piau (Galgenlieder, enregistrés chez Naïve), Françoise Masset, Donatienne Michel-Dansac, Eva Zaïcik, Marine Chagnon, François Leroux, Alexandre Tharaud, Lionel Peintre, Alain Buet … et une douzaine d’opéras dont un Ubu, créé à l’Opéra Comique en 2002 dans une mise en scène de Mireille Larroche, et sous la direction de Laurent Cuniot, avec Françoise Pollet et Jean-Philippe Courtis en Père et Mère Ubu. Son avant-dernier opéra, Argos & Grigoria, d’après Jean Tardieu, devait être créé à l’initiative de l’ensemble Aedes (Mathieu Romano) en juin 2020 au théâtre Impérial de Compiègne, et l’a été finalement à huis-clos (et filmé) en février 21. En janvier 23 paraît chez Harmonia Mundi son Carnaval des animaux en péril, par l’ensemble baroque La Rêveuse, CD qui accompagne la diffusion du spectacle du même nom, créé à la Philharmonie de Paris en novembre 22.
Denis Chouillet est pianiste et compositeur. La voix et le piano sont ses instruments de prédilection, la littérature ou la scène, ses principales sources d’inspiration. Il est l’auteur d’un opéra de chambre, de mélodies, mélodrames ou chansons, de pièces pour les claviers et de musique pour la danse, le théâtre ou des fictions radiophoniques. Il a mis en musique Perec, Desnos, Queneau, Chantal Galiana, Fabrice Villard, mais aussi des brèves d’AFP, des syllogismes. On a pu l’entendre du cabaret à l’opéra en passant par diverses scènes de la danse ou de la musique contemporaine, expérimentale ou du jazz. Il forme un duo avec la chanteuse, auteure-compositrice Élise Caron, un autre avec le compositeur et baryton Vincent Bouchot, a collaboré régulièrement avec la compagnie de danse contemporaine L’Yeuse, les réalisatrices de radio Marguerite Gateau et Juliette Heymann. Il fait partie depuis plus de 25 ans de l’ensemble Dedalus qui se consacre à la musique minimale. Il a reçu des commandes de la Péniche Opéra, Musique Nouvelle en Liberté, Radio France… En tant qu’interprète, il a joué, et parfois créé, des pièces de Ferrari, Lang, Johnson, Pesson, Macé… Il est lauréat du prix Nouveau Talent Musique de la SACD en 2006 pour son opéra Bataille Navale. Il fait actuellement partie du quartette improvisé NOCE, avec Benjamin Flament, Sylvain Lemêtre, Roberto Negro. Il a consacré récemment un disque monographique à la musique de Frédéric Lagnau paru sur le label Montagne Noire.
Salle Cortot
78, rue Cardinet
75017 Paris
Métro : Malesherbes (Ligne 3)
Parkings : 40, rue Jouffroy d’Abbans
- 14, avenue de Villiers
Prix des places
Tarif normal : 29 €
Tarif réduit (- 25 ans) : 16 €
Frais de réservation : 2 € par place
La violoncelliste Hélène Dautry étant souffrante, nous devons changer le programme.